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On va faire comme si nous ne nous connaissions pas ! Aurélie, peux-tu te présenter ?
Bonjour, je suis Aurélie, je suis mannequin depuis des années. Avant cela, j’étais sportive de haut niveau, j’ai fait 10 ans de sport-études puis je suis passée patineuse artistique pro. Un jour, j’ai été repérée pour tourner un film donc je suis devenue comédienne, tout en continuant le mannequinat en parallèle. Aujourd’hui, j’ai vraiment envie de continuer dans la sphère de la mode, notamment à travers la marque de « lingerie d’eau », Saint-Père Paris, que j’ai développée avec mon associée,
En tant que femme et modèle, comment appréhendes-tu la mode ? Est-ce que cela a toujours été facile, ou paradoxalement pas du tout ? Est-ce que tu distingues ta vie professionnelle et personnelle lorsqu’il s’agit de mode ?
C’est marrant parce qu’au début, et surtout en tant que sportive de haut niveau, je ne m’intéressait absolument pas à la mode. D’ailleurs, je m’habillais tous les jours de la même façon, c’est-à-dire en jogging ! Ceci dit, c’est aussi une tendance finalement (rire).
En revanche, j’ai toujours eu confiance en moi et en mon corps puisque le sport forge un caractère. Je n’avais pas besoin d’un vêtement pour affirmer ou revendiquer, j’avais le sport pour m’exprimer pleinement.
Plus tard, de mes 18 ans à mes 23 ans, la mode est devenue un aspect professionnel de ma vie, plutôt comme un outil pour gagner ma vie. C’était très cloisonné finalement car je portais des vêtements lors de showroom, de défilés ou pour des look books puis à la fin de la journée, je me rhabillais avec mes tenues très simples, tee-shirts - jeans - baskets.
Puis, j’ai été comme « initiée à la mode » via des rencontres professionnelles et personnelles, je pense notamment à mon associée, Eugénie Saint-Père, qui a fait une école de mode. Grâce à elle, j’ai beaucoup appris, j’ai compris que l’on pouvait sublimer le corps d’une femme, j’ai su ce qui m’allait ou pas en fonction de ma silhouette. C’est donc tardivement que j’ai compris que la mode pouvait être un atout.
Et en tant que comédienne ?
Effectivement, la mode c’est complètement un outil de jeu, d’autant plus dans les films d’époque par exemple. J’ai presque envie de dire que c’est 50% du travail.
Et enfin même question, ta vision de la mode à travers la dernière de tes multiples casquettes : « d’entrepreneuse ».
Alors, ma vision a beaucoup changé. Pour être franche et honnête, avant j’appréhendais la mode plutôt comme de la « fast fashion », ce n’est heureusement plus le cas aujourd’hui. C’est une prise de conscience écologique qui est exacerbée par le lancement de ma marque. C’est important, pour mon associée et moi, de créer des pièces éco-responsables, locales, de qualité et biologiques. Ce n’est même plus un sujet, et encore moins une intention de « surfer sur la vague », c’est tout simplement devenu essentiel quand on sait que la mode est la 1ère industrie la plus polluante au monde.
Sans parler de la seconde main, qui est devenue une vraie passion pour moi !
Tu le sais, chez Loove, on revendique le « LooveYourself » pour booster la confiance en elles de toutes les femmes. Tu veux nous dévoiler la version d’Aurélie ?
Alors, ma formule magique au quotidien c’est des petites vidéos personnelles de mon mari et de mon beau-fils.
Sinon, parmi mes défauts j’ai une qualité ou plutôt un trait de caractère qui m’aide beaucoup : je suis optimiste. Ça me permet de relativiser énormément, et d’avoir une énergie incroyable. Je pense vraiment que le positif attire le positif. J’aime bien dire qu’il n’y a pas de problème, qu’il n’y a que des solutions. Il faut toujours se battre, on peut y arriver, et même si cela met plus de temps que prévu, ce n’est pas grave, on peut réussir et atteindre son objectif. C’est certainement un enseignement que j’ai acquis grâce au sport.
On se connait et on collabore ensemble depuis quelques mois. Maintenant que tu connais plutôt bien Loove Paris, quels mots utiliserais-tu pour décrire la marque ?
Alors déjà, merci à Loove, je suis vraiment ravie de pouvoir porter ces magnifiques collections. Et c’est vraiment un plaisir pour moi de porter des pièces que j’aime. Ce n’est pas toujours le cas ! (rire) C’est vraiment des vêtements dans lesquels on se sent bien, et qu’on peut mixer à l’infini : on ajoute un tee-shirt, des accessoires, on porte des baskets ou des cuissardes, bref, tout est possible. Votre mantra fonctionne bien puisque tout dépend de ton mood, de ton activité, de ton envie. Et puis je sais que vous choisissez les matières avec beaucoup d’attention donc finalement c’est aussi des pièces cocooning.
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Chère Imani, acceptes-tu de te prêter au jeu de la très brève biographie ?
Je m’appelle Imani Griffon, j’ai 24 ans, je suis autrice-compositrice-interprète. Je viens de terminer mes études et je me lance « à corps perdu » dans un projet musical. Donc passionnée par la musique mais je fais également de la danse en parallèle. Je suis vraiment dans une optique de vivre de mes passions, c’est mon objectif.
Comment est-ce que tu appréhendes la mode ? En tant qu’artiste, considères-tu la mode comme un des nombreux outils d’expression de soi ?
Oui ! Je pense que c’est assez inévitable lorsque l’on est dans un domaine de création, on a forcément un lien assez étroit avec la mode. C’est aussi une façon de montrer qui l’on est. De mon côté, j’ai toujours un peu fait ce que j’appelle « de la récup’ » avec les vêtements car je n'ai porté quasiment que les vêtements de ma mère, pendant très longtemps. Finalement je créais mon propre style à partir de ses vêtements.
Aujourd’hui, j’essaie que cela soit un moyen d’expression le plus honnête possible, en portant une attention particulière aux tissus, au confort - je ne porte jamais de vêtements dans lesquels je ne me sens pas bien, c’est impossible - et j'essaie toujours d’oser, de ne pas avoir peur des tendances ou des injonctions, de m’amuser. Par exemple, je n’ai pas peur d’être en sabots en hiver. Ça fait très longtemps que je porte des sabots, c’est presque devenu ma signature. Bon, je tiens quand même à dire que c’était ma mère la première à mettre des sabots, sur terre ! (rire)
Chez Loove, notre mantra est « Looveyourself », en référence à l’amour de soi. As-tu aussi une petite punchline que tu te répètes au quotidien pour te booster ?
Alors OUI, j’en ai un ! C’est peut-être un peu vieux jeu ou cliché mais vraiment j’y crois.. C’est « qui ne tente rien, n’a rien ! ». Audace à fond, et tous les jours !
Et enfin, dernière question : ta pièce Loove préférée ?
Je suis désolée mais je suis obligée d’en dire deux ! La combinaison BILLY que je trouve très très belle.. la coupe, le tissus. Mais il y a aussi la robe MILOU avec les manches bouffantes que je trouve très intemporelle et en même temps assez originale. Il y a des petits détails qui la rendre à la fois vintage, un peu tablier, et très actuelle et moderne.
]]>Lancé en 2003, son blog est, à son image, un mélange pep’s et coloré de mode, de voyages et de lifestyle.
Rencontre avec une jeune femme solaire et décomplexée !
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Bonjour Slanelle ! Pour celles qui ne te connaissent pas, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Slanelle. J’ai créé mon blog à 15 ans, parce que j’étais fan de mode de rue japonaise. C’était un skyblog à l’époque, que j’ai tenu pendant environ 8 ans. Puis, avec l’émergence des blogueuses mode, comme Betty par exemple, je me suis dit pourquoi pas moi ! D’autant que j’avais l’impression d’avoir un peu tout dit sur la mode de rue japonaise. J’ai donc ouvert mon blogspot, le même qu’aujourd’hui, entièrement dédié à mon look personnel. Et cela dure donc depuis 20 ans !
En bref, j’ai 35 ans, je vis en région parisienne et je ne suis pas créatrice de contenus à temps plein, car j’exerce le métier de directrice artistique. Le reste restera privé :)
En off, tu nous parlais de tes débuts de blogueuse de mode de rue japonaise, peux-tu nous raconter cette anecdote sur tes petites astuces contenus ?
Il faut savoir qu’au début, les seules sources étaient les magazines que l’on achetait uniquement chez JUNKU, une librairie japonaise près de la station Pyramides, à Paris. Evidemment des magazines en japonais, que je ne comprenais pas, et je ne comprends toujours pas ! Je regardais les photos, je les scannais et je créais des collages pour faire des analyses de tendances. Elles valaient ce qu’elles valaient ! J’en rigole aujourd’hui en les relisant parce que c’est bourré de fautes d’orthographe mais j’adorais vraiment faire ça. Et puis en 8 ans, la mode, et moi-même avons évolué donc j’ai arrêté.. J’ai réorienté mon contenu vers mon look perso. D’ailleurs, mes abonnés Skyblog n’ont pas forcément suivi mon nouveau blog puisque ce n’était plus la même thématique. Mais ceux qui sont restés ont grandi en même temps que moi finalement.
Ton blog mode personnel n’a pas forcément été influencé par la mode japonaise ? Dirais-tu qu’on y retrouve des inspiration looks tout de même ?
Pas trop finalement car mes analyses de tendances étaient vraiment sur des looks très pointus, très japonais type « gothique lolita ». Moi j’étais, et je suis beaucoup plus « soft ». Et puis, il faut dire qu’à 15 ans, on fait ce que l’on peut avec sa penderie.. On est très dépendante de la fast fashion et de son budget. L’avantage c’est qu’une contrainte budgétaire force à être créatif ! Une pièce peut faire tellement de looks..
Donc dirais-tu que tu as toujours eu cette appétence pour l’upcycling ?
Oui assez, et par la force des choses, presque instinctivement finalement. Il faut quand même avouer que c’était plus économique que écologique.
Et comment on consomme responsable en 2022 ?
C’est une bonne question ! Honnêtement, je ne peux pas dire que j’étais précurseur sur l’écologie, je me suis réveillée en même temps que tout le monde finalement.
Pourtant tes rubriques « 1 pièce 10 styles » sont super intéressantes et fournies en tips pour une audience qui aimerait éviter la surconsommation…
Alors, ça c’est un peu particulier, c’est un challenge qu’on s’est lancé avec 9 copines blogueuses. L’idée c’est qu’une pièce peut être adaptée et reportée en fonction du style, de la morphologie, etc.
Aucun dictat, aucune règle, beaucoup de fun ! Et on a fait ça pendant 10 ans !
D’ailleurs, j’avais une rubrique qui s’appelait « comment porter », un peu l’ancêtre de « Old vs New » finalement, dans laquelle je montrais vraiment toutes les fois où j’avais porté une pièce. Je rassemblais toutes les archives et je faisais un collage. D’ailleurs, ça paraît très égocentrique dit comme ça !
Et puis, j’aime bien ce besoin d’avoir des pièces un peu « doudou », des favoris..
Dirais-tu que la mode et le fait d’être créatrice de contenus mode, t’ont permis d’avoir plus confiance en toi, de plus oser ?
Je dirais que c’est complètement paradoxal car en tant que femme, c’est assez « empowering » (j’ai envie de dire « empouvoirant » (rire)) et à la fois très complexant. Entre le magazine et son dressing, il y a la terrible épreuve de la cabine d’essayage. S’habiller, ça peut être une source d’angoisse absolue, dont je suis parfois victime aussi. A côté de cela, en tant que créatrice de contenus qui s’est prise en photos pendant 20 ans, je suis quasiment complètement détachée de ma propre image finalement. C’est très bizarre mais c’est comme si ce n’était pas moi ! Donc finalement, je ne suis relativement pas très regardante sur ma propre image. Je pense que les gens qui me suivent me connaissent maintenant par coeur. D’ailleurs, je n’ai jamais retouché mon visage ou mon corps, je ne veux pas tricher avec des filtres ou autres.
En revanche, parfois je fouille dans mes archives et là, j’avoue que je me vois vieillir ! J’ai quand même plus de 10 ans d’archives de moi-même. C’est d’ailleurs, un peu étrange d’avoir autant de photos de soi !
D’ailleurs, c’est quoi ton vêtement « doudou » dont tu parlais tout à l’heure ? Tu as un Essentiel ?
Oui mais ça change tout le temps… Enfin, disons qu’il change parce qu’il meurt (rire) mais je pense que j’ai toujours eu un truc pour les jeans un peu flare / baggy. Mon look de secours, dont j’ai besoin quand je me sens un peu « moyen », c’est un look « grunge » : tee-shirt et jean un peu large. Ça c’est vraiment moi.
L’histoire de Loove Paris a débuté avec une envie d’amour de soi, de vêtements dans lesquels on doit se sentir bien, que l’on résume par le mantra « LOOVEYOURSELF ». Est-ce que Slanelle a aussi un mantra ?
Pas loin puisque j’ai découvert cette année que le « cosy » pouvait vraiment impacter tous les aspects de ma vie. Ça peut être n’importe quoi, se mettre sous un plaid et faire de l’aquarelle, écouter une musique douce, porter un pull tout doux, toux chaud, etc.. Moi j’aime le confortable donc finalement mon mantra, c’est de dire que c’est le confort qui prime sur le style. Tout ce qui est contraignant pour le corps c’est hors de question !
D’ailleurs, petit aparté, c’est grâce à cette philosophie que j’ai connu Loove puisque j’ai flashé sur votre robe Bettyna, qui paraissait tellement confortable.. Et en plus, elle a des poches ! (Rire)
Notre dernière question était de te demander quelle était ta pièce préférée de chez Loove mais je crois qu’on sait maintenant !
Oui quoique j’aime bien les Combi aussi.. (rire)
]]>Post années 68, début du mouvement hippie et bohème, quelle meilleure période que les années 70 pour représenter les femmes libres ?
Pensée pour toutes les femmes, cette collection optimiste et inclusive est une ode à celles qui n’ont pas peur de s’assumer et de s’aimer. Des robes courtes, des motifs, des décolletés, toutes les courbes sont sublimées avec fraicheur et naïveté ; à l’image de la femme-enfant.
Jane Birkin is back!
‘Flower Power’ ou le pouvoir de la couleur pour booster le moral et la silhouette !
‘Little Flower’ à l’esthétique naïve et romantique…
‘Bloom’ pour une éclosion florale sur un tissus noir. Effet Waouh garanti !
« Ex-fan des sixties, petite baby doll » de ces paroles de duo mythique Gainsbourg et Birkin, à une collection. De l’héritage des petites robes naïves « Biba » des années 60 aux allures audacieuses des années 70. Des tonalités orangées, des fleurs, des coupes unisexes, des robes baby doll, … Bref, une fusion des codes pour une collection que l’on s’approprie au-delà des styles et des dictats.
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Encore beaucoup trop peu utilisé dans l’industrie de la mode, cette méthode de création se base sur l’usage de matériaux ou de produits dont nous n’avons plus l’utilité ; dont les stocks dormants font partie. Créer pour ne pas gaspiller. Cette réintroduction s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et vertueuse.
Chez Loove Paris, nous pratiquons majoritairement la précommande, c’est-à-dire une fabrication à la demande qui permet d’éviter la surproduction et d’agir sur le gaspillage textile et la pollution liée à l’industrie de la mode. Et pour aller jusqu’au bout de notre démarche, nous n’allons pas acheter des stocks dormants externes mais utilisons nos tissus inutilisés stockés chez nos fournisseurs ou nos fabricants. Ainsi, la nouvelle collection 'Upcycling 70s' a permis de valoriser 60 mètres de tissus éco-certifiés.
Encore quelques jours de patience pour découvrir cette nouvelle collection upcycling, vertueuse et éthique. Et on vous a dit, qu'en plus, elle était canon ?!
]]>Et parce que "LOOVEYOURSELF" c'est aussi prendre soin de soi, de sa peau, ainsi que celle de son bébé, nous sélectionnons uniquement des cotons certifiés GOTS. Nos vêtements sont pensés pour les mamans et les futures mamans.
Le label GOTS (Global Organic Textile Standard) est le plus complet en terme de production respectueuse des principes du développement durable et, garantie un tissus 100% biologique.
Zoom sur...
Star du textile, ce coton doux, léger et aérien a un tissé dense qui lui confère un beau tombé et une résistance accrue.
Matière estivale par excellence, ce coton au tissage peu serré et aux fils très fins lui apportent légèreté et fluidité. Le vêtement comme un voile sur la peau...
Etoffe naturelle au toucher incomparable, la soie a la particularité de tenir chaud en hiver et de garder la fraicheur en été.
]]>La tête dans les nuages grâce à ses montagnes alentours et les pieds dans le sable fin des plages bordées de pinèdes, Porto Vecchio profite d'un patrimoine naturel exceptionnel.
Découvrez la sélection Loove des vacances en Corse...
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La Loove team vous propose une sélection de romans dans lesquels se plonger et s'évader pendant des heures... Décollage immédiat.
1.
Que l'on ait une âme féministe ou non, ces interviews de femmes qui se sont illustrées dans différents domaines, sont particulièrement inspirantes. Et en plus, le second tome est déjà sorti !
2.
Grand classique, la biographie se transforme souvent en voyage hors du temps. Chanteuse accomplie, et icône mode pour la Loove team, on connaît moins Patti Smith comme auteure ; et pourtant.. A travers cette autobiographie, elle nous fait découvrir le New-York artistique et mystique des années 1960/70, de sa rencontre avec Robert Mapplethorpe à son succès dans la musique : une véritable vie romanesque.
3. De la plage à la galaxie, il n'y a qu'un pas ! Un classique de la vulgarisation scientifique qui se lit aussi bien qu'un roman. Fascinant !
4. "Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l'intelligence, et même le génie, c'est l'incompréhension."
L'anomalie a reçu le prix Goncourt 2020. A lire de toute urgence !
5.
Et bien sûr, LE guide essentiel pour un dressing en accord avec ses valeurs, co-écrit par la blogueuse et papesse de la mode éthique @The_Greenimalist
La rentrée sera responsable ou rien !
Bonne lecture !
]]>La Loove team vous dévoile ses spots et ses tips...
Nouveau spot végétarien, le restaurant Ora allie bonne table et ambiance électrique où vous pouvez danser jusqu'au bout de la nuit !
Version imprimée de notre best-seller, la petite robe Bettyna léopard se suffit à elle-même... Ou comment porté un imprimé fort tout en gardant un style minimaliste.
Le House Of Yoga est le pionnier des hôtels urbains dont le concept s'oriente autour du bien-être et du bien vivre : chambres Feng-Shui, restaurant végétarien, studio de yoga et de méditation, et Pop up store où vous trouverez les collections Loove Paris.
]]>La LOOVE Team vous emmène en voyage, cap sur Ibiza, le petit paradis des baléares.
Inspirée par cette destination solaire aux paysages éclectiques qui a su préserver sa culture hippie, ses criques tranquilles et sa douceur de vivre, Isabelle, co-fondatrice de Loove, nous dévoile ses looks de plage et ses belles adresses.
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LE VÊTEMENT D'ALLAITEMENT OU LE VÊTEMENT INCLUSIF
Or la liberté d’une femme passe aussi par faire des choix sans s’oublier elle-même. Nous avons donc fait le choix de proposer une large gamme de pièces compatibles avec l’allaitement. Chez Loove Paris, nos tops, robes et combinaisons possèdent des ouvertures latérales créatives, discrètes ou non et pratiques.
Une maman allaitante doit pouvoir garder son goût pour la mode.
]]>On vous livre nos 5 règles LOOVE pour respecter la planète :
>>> Abonnez-vous à notre compte Instagram pour en découvrir plus sur nos engagements au quotidien.
]]>Poussées par nos amies enceintes qui ne trouvaient pas leur bonheur dans les gammes grossesse, nous décidons de dessiner les quelques pièces d’un dressing qui sublime les jolies courbes des futures mamans. L’initiative plaît en dehors de notre cercle d’amies, LOOVE Paris est né !
UNE GROSSESSE STYLÉE
D’expérience, nous savons que la grossesse est à la fois magique et déstabilisante au regard des évolutions corporelles. Il est parfois difficile de se reconnaître et de se sentir à l’aise avec son reflet, or une femme devrait pouvoir garder son style et sa garde-robe quelque soit sa morphologie.
L’initiative plaît en dehors de la team des mamans, LOOVE Paris renaît, et s’adresse désormais à TOUTES les femmes, enceintes ou non !
UN VESTIAIRE INCLUSIF
Si nos métiers de création nous poussent à travailler l'esthétique, nous sommes néanmoins persuadées que le style ne devrait pas se départir du confort qui nous pousse à porter un vêtement.
C’est donc grâce à des couples amples, des plissés et des élastiques bien placés, un style intemporel et des tailles uniques, qu’à notre petit niveau et avec bienveillance, nous redonnons le sourire aux femmes, en leur offrant un vestiaire qui les accompagne tout au long de leur vie, de leurs courbes et de leurs moods.
Loove est composé de pièces que l’on s’approprie sans suivre aucun dictat ni aucune injonction. La mode devient un outil vecteur de libertés et d’expression de soi.
UNE MODE DURABLE POUR TOUTES LES MORPHOLOGIES
Chaque vêtement a été étudié et pensé pour correspondre à toutes les morphologies féminines et à toutes les situations :
. Nos blouses sont amples et bohèmes, composées de matières légères et fluides sont des alliées du quotidien : boulot, dîner, plage.
. Nos tops smokés dans le dos s'adaptent à toutes les tailles ; maternité comprise.
. Nos robes aux volumes "baby doll" laissent vivre les corps et font chavirer les coeurs !
. Nos combinaisons au tomber droit et à l'allure unisexe booste votre égo : en sneaker ou en talons, c'est un cocon du quotidien.
Bref, des pièces durables et adaptables. Des vêtements pour la vie. Et une vie avec le sourire !
LOOVE PARIS est dessiné, avec amour, par des femmes pour les femmes.
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Margaux porte notre top Luna
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Anne-Sarah est Galeriste à Paris (Galerie Anne-Sarah Benichou) et maman depuis quelques semaines, d'une magnifique petite fille.
Anne-Sarah porte nos modèles MANON et ANAIS.
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